Dans notre société, il y a deux mondes qui se croisent; celui les gens et celui des autres. C’est des autres sur lesquels je veux porter la lumière pour une fois, ceux·elles qu’on ne voit pas, qu’on décide de ne pas voir, ceux·elles dont on parle parfois sans jamais croiser un regard, échanger un sourire. En bref, ceux·elles qui n’existe que pas leur propre certitude d’exister.
Dans ce spectacle j’invite à redevenir sensible au monde aux dieux comme aux gueux, de redonner l’humanité à ceux·elles qui en sont privés par ceux·elles qui s’apparentent pourtant être des semblables.